La transparence a permi de libérer les dialogues entre partenaires et surtout de créer un shift dans la posture pour passer de la méfiance à la confiance
On a voulu créer une réappropriation citoyenne de la question énergétique
L’ikigaï fait se rencontrer 4 piliers : ce que j’aime faire, ce en quoi je suis bon, ce dont le monde a besoin, et ce pourquoi je pourrais être payé. C’était parfait !
Il faut d’abord avoir un projet qui nous motive, qui nous prend par les tripes et qui a du sens.
La question de la rémunération cache la question de la relation que nous avons au travail
Chacun est porteur de savoir pour les autres.
Enrichis toi de ce que les autres ont vécu
On ne progresse qu’en mesurant.
C’est OK de ne pas savoir et de poser des questions
On part du rêve des gens !
Le challenge il fallait vraiment qu'on le transforme en opportunité.
Il a fallu trouver des méthodes de travail qui nous correspondent à tous les deux.
L'écoute du client a été le fil rouge dans mes activités.
Et si l'été était le moment idéal pour repartir d'un bon pied avec la personne qui partage sa vie... professionnelle :) ?
Avoir des personnes différentes dans une entreprise est source d’innovation.
Pour se lancer à deux, il faut faire de son honnêteté une vrai force sans jamais avoir l'impression de perdre une partie de soi.
Plus on est clair sur le besoin, plus on arrive à trouver des personnes qui correspondent.
On est obligé de repenser la chaîne de valeur, il faut être cohérent sur toute la ligne
Même si les valeurs de départ sont des valeurs perso, il est important d'accepter qu'à un moment cela nous dépasse. Cela devient les valeurs d'un collectif.
Je suis convaincu que c’est par la transparence qu’on gagne la confiance des consommateurs.
Progressivement on est passées de 'mon projet' à 'notre projet'.
On est 10 personnes dans l’équipe, de 7 pays différents, répartis sur 3 continents.
"Le recrutement c'est comme les motards. Il n'y a que ceux qu'on n'ont pas essayé qui ne se sont pas plantés !"
"C'est bien beau d'avoir des valeurs. Mais il faut les utiliser au quotidien, sinon elles ne servent pas à grand chose."
Notre binôme c'est la première ressource de notre projet !
Je débarque en France en connaissant à peu prés personne. Et j'envoies une 60aine d'emails avec pour objet "Bouteille à la mer d'un vidéaste passionné".
J'ai failli m'associer avec 4 personnes : un collégue, une amie, 2 inconnus. 3 fois sur 4 je me suis apercue que ça ne collait pas du tout.
J'ai envoyé un mail avec 6 personnes avec quelques lignes sur le projet. Celles qui n'ont pas seulement répondu "c'est super", mais ont aussi challengé l'idée sont devenues les co-fondatrices.
Il faut s'entourer de gens critiques et bienveillants et qui peuvent faire des connexions.
Bien se connaître ça permet de prendre sa place. Malgré nos différences d'âges.